Comment aider mon enfant à gérer ses émotions, le guide complet
28 Oct, 2022
Comment accompagner son enfant dans la gestion des émotions ?
En tant que parent, nous avons tous été confrontées à :
- Une grosse colère,
- Une crise de nerfs,
- Une peur inattendue d’un enfant.
Nous avons été surpris par la soudaineté et l’intensité de l’émotion d’un tout-petit.
Par réflexe, nous avons parfois tenté d’y mettre un terme. Pourtant, la meilleure réponse consiste à ne pas stopper l’émotion. Cela peut entraîner une blessure chez l’enfant.
Chantal Caracci Simon, chercheuse, formatrice et accompagnatrice en parentalité dans les crèches sensorielles Cap Enfants, nous a permis de rédiger ce guide.
L’objectif : nous apprendre à écouter et laisser s’exprimer les émotions des enfants. En tant qu’adulte, nous pouvons les accompagner dans leurs ressentis pour les aider à se construire en tant que personne. Et ainsi, nous les aidons à développer leur intelligence émotionnelle. C’est important pour le monde de demain.
Les exercices que nous vous partageons permettront à l’enfant de :
- Reconnaître et mieux gérer ses émotions,
- Contrôler ses réactions,
- Respecter les émotions des autres.
Commençons par définir de quoi nous parlons.
Qu’est-ce qu’une émotion ?
Les émotions font partie intégrante de notre vie. Pourtant, nous ne les comprenons pas toujours.
Une émotion est un état affectif, composé de sensations physiques, agréables ou désagréables. La durée d’une émotion est brève et les réactions rapides.
Les émotions nous mobilisent pour réagir à des événements sans que nous ayons à nous poser de questions. Elles nous mettent en mouvement. Le mot vient du latin motio qui désigne l’action de mouvoir, le mouvement, voire le trouble ou frisson (de fièvre).
Nous ne décidons pas quelles émotions nous devons ressentir. Nos émotions s’imposent plutôt à nous comme un fait accompli. Les émotions nous mettent donc en mouvement et nous rendent vivants. C’est notre élan vital.
Les émotions sont des réactions spontanées d’adaptation du corps face à une situation précise venue de l’environnement extérieur, perçues par les 5 sens. Si nous voyons une bête sauvage, comme un ours, l’émotion nous fera probablement fuir.
Elle sert à mobiliser de l’énergie pour agir et assurer la survie.
Elle peut également résulter d’une stimulation affective.
Quand un humain apprend à repérer le message envoyé par son corps et à reconnaître ses émotions, il arrive mieux à s’adapter et à comprendre ce qui compte pour lui, mais aussi pour les autres.
Le psychologue américain Paul Ekman a répertorié six émotions de base ou émotions primaires, innées. Ce sont :
- La joie,
- La tristesse,
- La colère,
- La peur,
- La surprise,
- Et le dégoût.
L’émotion a une double fonction biologique :
- Réguler l’état interne de l’organisme (la cocotte-minute),
- Produire une réaction adaptée à la situation.
L’émotion n’est pas une sensation. Nous pouvons avoir une sensation de faim et de froid.
Ce n’est pas non plus un sentiment, comme le sentiment amoureux qui peut durer, car l’émotion est instantanée.
Elle se construit en trois temps.
- Le premier, c’est la charge.
- Le deuxième, c’est la tension.
- Le troisième temps, c’est la décharge.
La charge est le stimulus, l’élément déclencheur. Un ours sauvage entre dans mon champ de vision. Cela génère une réaction émotionnelle qui se traduit par une tension dans le corps. La décharge est l’étape où l’individu agit pour défaire cette tension. En l’occurrence, fuir.
On peut, dans un quatrième temps, mettre des mots sur un ressenti. Mais cela vient après que l’enfant ait pu libérer ses émotions.
Les exercices que nous présentons un peu plus loin dans le guide permettent de décharger l’émotion et d’éviter que le corps reste en tension.
Comprendre le développement des émotions chez l’enfant
Manifestation des émotions de 0 à 3 mois
Le bébé ne peut pas assurer seul sa survie. L’être humain est celui qui naît dans le plus grand état de dépendance. Il dépend de son entourage qui va le nourrir, le soigner, lui permettre de dormir, le stimuler. Il est vital pour le bébé de se mettre en relation et de communiquer avec son entourage.
Dès sa naissance, les bébés sont attirés par les visages humains et par la voix de sa mère. Dès les premières semaines de sa vie, le bébé est préparé à interagir grâce à ses capacités d’imitation faciale et gestuelle.
L’observation des nourrissons issus de plusieurs cultures, nous permet d’identifier les émotions qui composent le kit de base. Tous les bébés du monde disposent de ce kit de base. Il se compose de la colère, du dégoût, de la peur, de l’intérêt et du plaisir.
De 0 à 3 mois, les bébés n’ont pas encore beaucoup d’outils pour réguler leurs émotions. Les deux stratégies, dont ils disposent, sont :
- La succion,
- Le détournement du regard.
Dans la plupart des situations, le bébé compte sur l’intervention d’un co-régulateur (l’adulte) pour apprivoiser ses émotions. Le co-régulateur est une personne qui va prendre l’initiative c’est-à-dire lui parler, lui chanter une berceuse, prendre le bébé dans ses bras, lui faire les marionnettes…
L’émergence des signes émotionnels différenciés 3 à 24 mois
Entre 3 et 24 mois, les bébés se situent dans un deuxième stade de leur développement. Trois événements majeurs vont se produire:
- la différenciation de l’expression des émotions,
- La prise de conscience des réactions émotionnelles,
- L’enrichissement du répertoire des stratégies de régulation intrapersonnelle.
Vers 3 mois, les conduites réflexes de l’enfant disparaissent. Elles laissent place aux conduites intentionnelles.
Exemple : Claire s’approche d’un bébé en détresse. Une fois son visage à proximité, elle affiche des signes de détresse qui reflètent ceux de l’enfant. Elle lui dit : « oh mon bonhomme que se passe-t-il? Tu as peur ? Quelque chose t’a surpris ? »
Grâce à ce type d’interactions répétitives, le bébé prend progressivement conscience de ses propres réactions. Il va apprendre à identifier ses émotions.
L’enfant dans sa deuxième année de vie commence à pouvoir se débrouiller seul. Son répertoire intrapersonnel s’enrichit. Concrètement, cela lui permet d’initier des actions visant à éliminer, éviter, solliciter ou répéter une émotion.
Exemple : Maxime, 14 mois, est dans le salon avec ses parents. Il saisit la télécommande de la télévision et appuie sur un bouton. Le téléviseur s’allume en faisant « beep beep ». Maxime sourit. Papa prend la télécommande, la repose sur la table basse et replace Maxime sur le tapis d’éveil. Un instant plus tard, Maxime se met debout et se dirige à nouveau vers la télécommande, il veut répéter l’expérience de plaisir en se rapprochant de la source de l’émotion.
La maturation cérébrale
Parfois, il est difficile de faire face à l’intensité des émotions des enfants, mais il faut se rappeler que son cerveau et ses connexions cérébrales ne sont pas arrivés à maturité. L’intensité des émotions ressenties par l’enfant n’est pas forcément le reflet d’une mauvaise gestion de sa part. Elle est simplement liée à l’immaturité du développement de certaines aires et connexions cérébrales.
Le cerveau des petits enfants est immature, ils ne peuvent pas réagir comme des adultes :
- À la frustration,
- À la difficulté,
- Ou encore à la peur.
Les chagrins, les colères et les décharges émotionnelles ne sont pas des caprices, mais simplement des manifestations d’immaturité.
Avant 5 ans, l’enfant ne peut pas contrôler ses émotions. Il est incapable de prendre du recul sur ce qu’il vit. Il ressent les émotions avec beaucoup plus d’intensité que les adultes. Il n’a pas encore construit ses capacités à s’autoréguler.
Quand une émotion est là, elle a de bonnes raisons de l’être. Donc se battre contre elle ne fera que l’augmenter ou la laisser à « l’intérieur » macérer et grandir amplifiera le mal-être de l’enfant.
Les bienfaits d’une bonne gestion des émotions
Chaque fois que l’adulte fait preuve d’empathie envers l’enfant submergé par ses émotions par des gestes et des mots :
- Il l’apaise,
- Il renforce sa confiance en soi.
Les émotions sont utiles à l’enfant.
La joie sert à partager avec les autres, à faire circuler l’énergie nécessaire pour vivre et affronter les événements de la vie. Cette émotion est un moteur permettant l’ouverture aux autres.
La tristesse permet à l’enfant d’aller progressivement vers l’acceptation de ce qui est inévitable et de s’adapter face à la perte.
La colère permet à l’enfant de mobiliser de l’énergie pour faire changer les choses. Elle permet de gérer la frustration. Elle s’avère utile pour la communication.
La peur sert à alerter l’enfant d’une menace ou d’un danger afin qu’il se protège.
L’enfant a besoin de ses émotions pour l’aider à comprendre le monde et à agir en conséquence.
Elles servent à communiquer un besoin, une intention, un désir.
Elles jouent un rôle important dans le développement social : à chaque émotion il faut une réponse de l’entourage. L’enfant est triste. Il obtient un câlin pour le réconforter.
Des émotions comme la joie, l’enthousiasme, l’intérêt, favorisent l’exploration de l’environnement, l’apprentissage.
Grâce aux émotions, l’enfant va pouvoir se reconstruire, récupérer après une blessure. Les émotions ont un sens, une intention. Elles sont là pour guérir. Notre but n’est pas de stopper l’émotion MAIS plutôt de l’accompagner, de l’écouter et de l’entendre.
Il est important de tenir compte de l’émotion. Il ne faut pas la minimiser, ni culpabiliser l’enfant et lui dire « tu n’as pas à être en colère, tu fais le bébé…. »
L’écoute empathique et l’éducation positive font partie intégrante de la pédagogie des crèches sensorielles Cap Enfants.
Comment aider votre enfant à reconnaître ses émotions ?
Le premier principe dans l’accompagnement des émotions de l’enfant consiste à lui offrir une sécurité affective.
Ce qu’il faut éviter :
- Tout jugement, tout commentaire,
- Donner des conseils ou faire la morale,
- La contagion émotionnelle : répondre à la colère par la colère.
Ce qu’il faut privilégier :
- Se connecter à l’émotion de l’enfant sans en avoir peur, sans la prendre pour la nôtre : dans le contact mais en silence.
- Pratiquer le reflet émotionnel : mettre des mots sur les émotions que vit l’enfant. Par exemple : je vois que tu es en colère.
- Proposer des outils.
Idées d’activités pour gérer les émotions de votre enfant
Voici les activités auxquelles sont formées les professionnelles de la petite enfance de Cap Enfants. Elles ont été conçues pour aider le tout-petit à canaliser son énergie et gérer ses réactions émotionnelles.
Dans un premier temps, vous pouvez apprendre à l’enfant à mettre ses propres mots sur ce qu’il vit.
Pour décharger la tristesse
Il faut comprendre que la tristesse vient souvent d’un manque de confiance en soi. Vous pouvez y remédier en faisant ceci.
Les automassages
Voici ce que vous dites à l’enfant :
- Amuse-toi à masser avec ton pouce gauche le centre de ta main droite (à faire pendant 2 minutes).
- Frotte tes deux paumes de mains l’une contre l’autre pendant 15 secondes, puis mets-les sur la poitrine. Puis fais des cercles dans un sens et dans l’autre pendant 2 minutes.
- Fais la même chose sur le ventre.
Raconter ou mimer une histoire joyeuse
Le fait d’écouter ou de s’investir oblige l’enfant à développer une énergie positive, tournée vers la joie et la bonne humeur.
La méditation de la graine
Un enfant a besoin de s’apaiser, de se sentir plus léger.
L’enfant est assis, il respire tranquillement.
Voici ce qu’on lui dit :
- Imagine que tu es une graine qui grâce au soleil et à la pluie commence à grandir. 2. Sens à chaque fois que tu respires, que tu as plus de force, plus d’énergie. Cette graine devient une plante qui va vers le ciel. Tu te sens bien. Sens la force qui grandit en toi. Tu deviens une belle plante avec une belle fleur que le soleil fait briller. 3. Tu es bien, tranquille. Profite de ce moment et recommence à bouger les pieds et les mains, tu reviens et tu es en pleine forme.
Faire chanter l’enfant
Il se concentre pour exprimer sa joie. Le chant permet de libérer les tensions et sa gaieté naturelle.
Le faire colorier une fontaine de toutes les couleurs
L’enfant agit sur ses émotions en utilisant des couleurs vives et joyeuses, cela agit comme un baume et permet de passer à autre chose.
La marche du gorille
L’enfant dynamise son corps en tapotant sur lui comme le fait un gorille. L’enfant se tonifie, et retrouve sa bonne humeur.
Pour décharger la peur
La peur paralyse les sens et glace le sang. Il faut pratiquer des activités ludiques et créatives, les plus positives possible afin de reconstruire une harmonie intérieure.
Le chasse peur
L’enfant utilise des mouvements et le souffle pour se libérer de sa peur.
Voici ce qu’on dit à l’enfant :
- Prends une feuille de papier et pense à sa peur.
- Puis tu chiffonnes et tu déchires cette feuille de papier.
- Puis tu jettes cette feuille dans la poubelle. Tu as mis la peur à la poubelle et tu n’en veux plus.
Le concours de sourires
L’enfant imite les sourires d’animaux. Le sourire va détendre tout le visage souvent crispé par la peur.
En souriant, l’enfant s’allège de ses émotions, se sent plus serein.
Le yoga du hérisson
Par des étirements proposés, le corps de l’enfant retrouve son harmonie. Il peut le faire tout seul ensuite .
- Tu es un petit hérisson en hiver. Tu recherches la chaleur. Pose tes genoux au sol et mets tes mains sur les cuisses 1 minute environ.
- Assieds-toi lentement sur les talons, ton front vers les genoux puis respire lentement 2 minutes.
- Doucement reposent tes fesses sur tes talons et le dos droit, masse ton ventre avec la paume de tes mains en effectuant des cercles.
- Masse ton visage avec tes paumes puis ouvre les yeux et relève-toi.
Le vol de l’abeille
On invite l’enfant à imiter l’abeille.
Voici ce qu’on dit à l’enfant :
- Tu es une petite abeille. Fais le bruit de l’abeille.
- Puis fais voyager l’abeille. La petite abeille passe au-dessus de la vague. Tu entends le son de la mer.
- L’abeille va sur une fleur et respire l’odeur de la fleur. Sens comme elle sent bon. 4. Frotte des paumes de mains l’une contre l’autre et pose-les sur la poitrine et frotte ta poitrine en pensant : Mmmm c’est bon.
Pour décharger la colère
La colère anéantit les défenses immunitaires et sabre l’équilibre émotionnel. Le système nerveux s’en trouve fragilisé ; l’organisme s’épuise. Il faut recentrer l’enfant afin de lui faire retrouver le calme.
Le yoga du rire
Faire asseoir l’enfant sur une chaise.
- Tape deux fois dans les mains et prononce le son OO, puis tape trois fois dans les mains et prononce le son AAA. On refait l’exercice deux fois et à la fin on tend les pouces en avant et on dit « super».
- Avec tes mains, fais des mouvements circulaires sur le ventre en faisant le son Ô puis ouh de contentement.
- Pose un pouce sur le nombril et fais le geste de tourner le pouce comme une clé qui ouvrirait un coffre et là tu ris.
- Le rire est lâché.
La détente du grand huit
- Fais le dessin d’un 8 à l’horizontale.
- Regarde le centre et amuse-toi à suivre le trait noir (guider l’enfant de droite à gauche).
- Fais le parcours 4 à 5 fois. Frotte tes paumes de mains, puis pose-les sur tes yeux, apprécie la chaleur et détends-toi quelques instants.
Le marin sur le bateau
- Imagine que tu es sur le pont d’un bateau, en pleine mer. La mer bouge et le bateau monte et descend sur les flots.
- Il faut faire les mouvements au ralenti. Lentement, quand le bateau monte, mets-toi sur la pointe des pieds, quand le bateau descend plie les genoux. Il monte et il descend.
Pour stimuler la joie
La joie libère les endorphines, les hormones du bonheur. Elle se communique vite et dénoue rapidement des nœuds de communication. Le rire est aussi le moyen le plus direct de couper en deux une humeur désagréable trop envahissante.
Le repos de la tortue
L’enfant imite le calme d’une tortue.
- Allonge-toi sur le dos, bras le long du corps, jambes tendues. Respire doucement durant 1 minute.
- Inspire en tendant tes bras et tes mains vers le plafond, puis souffle en reposant des bras au sol.
- Soulève tes jambes, pieds pointés vers le plafond en inspirant puis souffle en les reposant sur le sol.
- Puis tu soulèves bras et jambes et revient en position allongée.
- Tu peux faire cela deux fois en respirant tranquillement.
Des animaux qui font de la gym
- Tu vas exécuter à la suite des mouvements d’animaux. D’abord l’ours qui va se gratter le dos contre un mur. Fais glisser ton dos jusqu’au bas du mur et ce plusieurs fois.
- Ensuite marche comme un canard sans tomber.
- Allonge-toi à plat ventre et déplace-toi comme le serpent.
- Enfin mets-toi à quatre pattes et avance comme un chat, puis saute comme un kangourou et termine de nouveau debout comme un ours et gratte-toi le dos.
Le vent réalise les souhaits
Sur des feuilles de papier, l’enfant réalise des dessins qui représentent des choses positives pour les enfants : une fleur, un soleil, des cœurs. Puis faire une guirlande et l’accrocher. Cela apportera du bonheur à tout le monde.
Mettre les vidéos YT
Conseils de lecture pour mieux comprendre la gestion des émotions chez l’enfant
Voici un livre pour vous aider à comprendre les émotions de l’enfant :
Au cœur des émotions de l’enfant, Isabelle Filliozat.
Pour faciliter les discussions en famille sur les émotions, il existe des petits livres très bien pour les enfants, écrits par Aline de Pétigny aux Éditions Pourpenser :
- Petite ou grosse colère, évapore-toi.
- Peur à la noix, je n’ai pas besoin de toi.
- Tristesse, envole-toi.
Chez Hachette jeunesse, dans la collection Bien grandir, vous pouvez aussi consulter Les émotions de Gaston la licorne, d’Aurélie Chien Chow Chine. Il contient notamment la roue des émotions.
Conclusion
Nous espérons que les différents exercices aideront votre enfant à surmonter sa difficulté à gérer ses émotions.
Nous, adultes, sommes là pour que les enfants acquièrent suffisamment de confiance en eux, de sécurité intérieure et d’autonomie pour affronter notre monde en mutation.
Les enfants d’aujourd’hui ont plus que jamais besoin de construire une identité forte.
C’est ce que nous nous efforçons de faire chaque jour dans toutes les crèches Cap Enfants.
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